Donc voilà, c'est juste quelques réflexions. Utile ou pas, nous sommes une équipe alors je vous fait partager !!!
Je viens de lire ceci dans un livre sur l'animation :
-Un bon concept est généralement basé sur une idée vraiment simple : lions en Afrique, pirates Aux Caraïbes, voitures, insectes, et monstres sont tous des concepts déjà ancrés dans les esprits. Ces concepts ont dès le départs une place dans la tête des spectateurs. Les spectateurs viennent au cinéma avec une idée déjà formée en tête, une attente, et du coup les auteurs du film doivent dépasser leurs attentes.
Il est dit aussi :
-Les bonnes histoires ont aussi une ligne d'action de base très simple :
Le roi lion : Rentre chez toi
Blanche neige : Arrête la malédiction
Cendrillon : Choppe le prince
101 Dalmatiens : Sauve les chiots
etc...
Je pense que nous n'avons pas encore bien défini ou formulé le concept et l'action de base. Donc je vous propose ce que je me suis brainstormé. Si ça peut nous inspirer ou donner des idée ou simplement aider à bien formulé.
-Concept:
-la mort est un bluesman
-le passeur est un bluesman
-le jugement dernier est un blues
-la vie est un blues
-la mort est un blues
-la mort se joue sur un air de blues
-la dernière volonté d'un bluesman
-Action:
-n'oublie pas de payer le passeur
-la vie après la mort se paye
-Mourir en jouant un blues avec la mort
->Jouer un blues avec la mort
->Comment se joue un blues ?
-Atteindre l'apogée de son art avant de partir
-Aller au bout des choses
->Un homme meurt, mais avant de partir, il veut jouer un dernier morceau
-Ne pas laissé un travail inachevé
-Faire mourir des gens
-Être payé pour faire trépasser des gens
-Attendre que les gens meurent
Il faut donc définir si on se positionne du côté de la mort ou du pianiste. Si l'histoire se porte plus sur la mort, nous risquons de devoir faire une sorte de cycle parce que la mort touche tout le monde. Le seul moyen d'éviter ça, est de centrer l'histoire sur le pianiste.
Bon, tout ça est un peu brut de décoffrage ! Mais je pense qu'il faut qu'on définisse bien le concept de base et la ligne d'action. Pour l'instant nous avons :
-La mort est un bluesman
-Il fait mourir un pianiste en finissant son morceau.
Ou bien
-Un pianiste de blues meurt
-La mort l'accompagne dans un dernier blues
Le premier en étant centré sur le guitariste, le second sur le pianiste. Que ce soit l'un ou l'autre, c'est la mort qui dirige l'action. Nous sommes plutôt partis sur un personnage de la mort qui soit passif plus qu'actif mais le pianiste n'a pas ou peu de réactions. Il ne fait pas de choix, sa personnalité ne ressort pas beaucoup.
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